Titre : |
Projets, développement territorial et pérennisation des actions le cas du Niger et de la lutte contre la pauvreté |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Saïdou Abdoulkarimou, Auteur ; Jean-Paul Cheylan, Directeur de thèse ; Université Paul Valéry Montpellier 3. Arts et Lettres, Langues et Sciences Humaines et Sociales. École Doctorale "territoires, Temps, Sociétés et Développement" - Ed N° 60, Organisme de soutenance |
Année de publication : |
2010 |
Importance : |
226 p. |
Note générale : |
Don Denis Retaillé |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Depuis plus de 40 ans, des Projets ont été conçus et mis en œuvre au Niger pour assurer le développement socio-économique mais force et de constater que les résultats atteints n’ont pas été à la hauteur des espoirs. Quinze années durant, le doctorant a travaillé au sein de Projets et programmes en qualité d'agent de développement. Le doctorant voulait à travers cette thèse comprendre les raisons de la prédominance et des limites de l’approche projet/programme à pérenniser les actions qu’ils initient et à avoir des impacts durables sur la pauvreté. A partir de l’analyse de la littérature et des expériences de projet auquel il a participé, il a exploré le concept de pauvreté en l’appliquant au Niger et a caractérisé la notion de projet et programme. Il a illustré ses propos à travers l’analyse de l’évolution sur quarante ans du village de M’Bida, en terme de pauvreté. La recherche engagée a permis d’aboutir à un certain nombre de résultats. Au Niger, la pauvreté est un phénomène dynamique, complexe, multidimensionnelle avec interactions entre facteurs. Toutefois, c’est la dimension socio-culturelle qui est déterminante dans la lutte contre la pauvreté. Les projets constituent un univers d’acteurs et de pratiques sociales. Les agents des projets et programmes manquent d’outils pour intégrer dans leurs modes d’intervention les stratégies des individus et groupes sociaux, localement dominants d’une part et extrêmement vulnérables d’autre part. Le manque d’évaluation post-projet ne permet pas d’appréhender les impacts durables, et de capitaliser les « bonnes pratiques ». Face à ces différentes contraintes, le doctorant propose la généralisation de l’approche territoriale pour contribuer à lever les blocages des approches projets et programmes (Résumé d'auteur). |
Travaux universitaires : |
Th. : Doctorat Géographie et Aménagement de l'Espace : Montpellier 3 : 2010 |
Type de document Regards : |
Thèse |
En ligne : |
http://www.theses.fr/2010MON30092/document |
Permalink : |
https://www.cist-regards.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=168667 |
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