Résumé : |
Recit descriptif des conditions de vie (de survie ?) des quelque 22000 Yanomamis repartis dans le territoire de Roraima, ainsi que des 14000 Garimpeiros (prospecteurs) venus , en 1987, pour construire des pistes d'atterrissage, tamiser l'eau ("la Serra de Surucucu", principale reserve, est riche en or, uranium, minerai d'etain). Les malocas (maisons collectives indigenes), proches des Garimpos (lieux de prospection) ont ete les plus touchees ; lorsque le genocide devint trop patent, on proceda a l'evacuation des "petits blancs" (janvier 1990) dont l'existence (certains sont restes) est aussi dure et miserable que celle des indiens. Differents temoignages, contradictoires en ce qui concerne les solutions preconisees, se succedent. En fait, la situation semble bloquee. On craint l'arrivee d'entreprises mieux armees pour une exploitation plus systematique. (IBISCUS-Min. AFFAIRES ETRANGERES) |