Catalogue REGARDS
Centre IST Regards
Le Centre d'Information Scientifique et Technique Regards du CNRS est le pôle documentaire de l'Unité Mixte de Recherche Passages. Ce catalogue est celui de sa bibliothèque.
Agriculture et développement . no. 13Paru le : 01/03/1997 |
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Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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23064 | CIRA CD_PE1629 | Périodique | Centre IST Regards | Recherche | Consultation sur place Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierEmploi d'herbicides pour lutter contre Striga hermonthica / G. Hoffmann in Agriculture et développement, no. 13 ([01/03/1997])
[article]
Titre : Emploi d'herbicides pour lutter contre Striga hermonthica Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Hoffmann, Auteur ; P. Marnotte, Auteur ; D. Dembele, Auteur Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 58-62 Note générale : ill. : 5, tabl. : 6, graph. : 1, Résumé : Anglais, Français; Espagnol Langues : Français (fre) Catégories : Agriculture Mots-clés : Plante adventice Lutte contre les adventices Herbicide Sorgho Mais Résumé : La destruction des parties aériennes par différents moyens (arrachage, sarclage, désherbage chimique) limite la période de concurrence et empêche la production des graines. La date optimale des interventions se situe entre 50 et 70 jours après semis de la culture. Les résultats présentés ont été obtenus dans le cadre du projet Wasip-Mali, en collaboration avec le Cirad et l'Icrisat. Au cours des trois années d'un essai en site expérimental (1989 à 1991), les résultats montrent que l'effet du sarclage ou de l'application herbicide sont importants par rapport au témoin. Des tests simples réalisés en milieu paysan (1993) montrent qu'une application herbicide (avec du 2,4-D) 30 jours après semis retarde l'apparition du Striga et diminue la densité de peuplement. Une double application herbicide augmente aussi l'efficacité, conduisant pratiquement à l'élimination du Striga. Par ailleurs, d'autres produits sont testés en comparaison du 2,4-D. (Résumé d'auteur) (IBISCUS-CIRAD) Mots-clés géographiques : Mali Type de document Regards : Article de périodique Identifiant Regards : 3418 Permalink : https://www.cist-regards.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4440
in Agriculture et développement > no. 13 [01/03/1997] . - p. 58-62[article]Perception paysanne de l'ampleur du Striga et de sa répartition sur le terroir villageois / M'Pie Bengaly in Agriculture et développement, no. 13 ([01/03/1997])
[article]
Titre : Perception paysanne de l'ampleur du Striga et de sa répartition sur le terroir villageois Type de document : texte imprimé Auteurs : M'Pie Bengaly, Auteur ; T. Defoer, Auteur Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 52-57 Note générale : ill. : 3, tabl. : 2, carte:1, Résumé : Anglais, Français; Espagnol Langues : Français (fre) Catégories : Agriculture Mots-clés : Plante adventice Lutte contre les adventices Cartographie Pratique culturale Résumé : Afin de mieux appréhender la diversité du problème de Striga au niveau du terroir villageois, l'Espgrn a développé une recherche-action permettant d'analyser les états du milieu et les pratiques paysannes sur plusieurs plans : le terroir, l'exploitation agricole et la parcelle. La carte de terroir villageois et le transect sont les deux outils utilisés pour comprendre l'ampleur et la répartition du Striga. Etudié dans deux zones du sud-Mali, le degré d'infestation varie fortement. Le problème de Striga semble moins grave en système agricole plus intensif avec une bonne utilisation de la fumure organique et des rotations culturales variées. Le Striga est réparti inégalement sur le terroir en fonction de l'historique des parcelles, du sol, de la toposéquence, du passage des animaux, de l'érosion. Les villageois se sont mobilisés pour proposer des méthodes de lutte contre le Striga. Cette approche participative a permis d'orienter efficacement les recherches et la vulgarisation. (Résumé d'auteur) (IBISCUS-CIRAD) Mots-clés géographiques : Mali Type de document Regards : Article de périodique Identifiant Regards : 3419 Permalink : https://www.cist-regards.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4441
in Agriculture et développement > no. 13 [01/03/1997] . - p. 52-57[article]Les espèces parasites herbacées des cultures vivrières en Afrique : biologie et impact, étude au Mali. 1. Reconnaissance et biologie des espèces parasites. 2. Impact des plantes parasites d'après une étude au Mali (1991 - 1994) / G. Hoffmann in Agriculture et développement, no. 13 ([01/03/1997])
[article]
Titre : Les espèces parasites herbacées des cultures vivrières en Afrique : biologie et impact, étude au Mali. 1. Reconnaissance et biologie des espèces parasites. 2. Impact des plantes parasites d'après une étude au Mali (1991 - 1994) Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Hoffmann, Auteur ; C. Diarra, Auteur ; I. Ba, Auteur ; D. Dembele, Auteur Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 30-51 Note générale : ill. : *, tabl. : 7, graph. : 12, carte:1, Résumé : Anglais, Français; Espagnol Langues : Français (fre) Catégories : Agriculture Mots-clés : Plante adventice Lutte contre les adventices Résumé : Parmi les plantes parasites, les épirhizes se distinguent en se fixant sur les racines de la plante hôte (exemple du cycle de Striga hermonthica), les épiphytes se développent sur les organes aériens des plantes infestées, genre Topinanthus. Ces deux genres sont bien représentés en Afrique. Dans le cadre du projet Cirad/Icrisat-Wasip (West Africun Sorghum Improvement Program), une étude effectuée au Mali (concernant 7 villages du sud) a permis de répertorier A. vogelii, S. gesnerioides, B. hispida, S. hermonthica, S. aspera, S. asiatica, R. fistulosa, S. passargei, S. brachycalyx, S. bilabiata subsp. rowlandii, S. linearifolia. Une enquête auprès des agriculteurs a mis en évidence l'existence des plantes parasites, leurs dangers, les espèces identifiées et les moyens de lutte envisagés. Tous les paysans connaissent les plantes parasites mais ignorent leur mode de reproduction et reconnaissent peu les différentes espèces. Les distributions des espèces et des degrés d'infestation ont été cartographiés. La répartition s'explique par les exigences écologiques, par l'histoire de l'occupation des terres et l'action du ruissellement sur la dissémination. En conséquence, des terroirs sont abandonnés entraînant l'émigration des populations. Une caractérisation a été effectuée en fonction de la densité d'infestation et de l'influence de plusieurs facteurs du système agraire sur l'évolution des infestations (IBISCUS-CIRAD) Mots-clés géographiques : Mali Type de document Regards : Article de périodique Identifiant Regards : 3420 Permalink : https://www.cist-regards.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4442
in Agriculture et développement > no. 13 [01/03/1997] . - p. 30-51[article]La quarantaine de canne à sucre du Cirad à Montpellier / P. Rott in Agriculture et développement, no. 13 ([01/03/1997])
[article]
Titre : La quarantaine de canne à sucre du Cirad à Montpellier Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Rott, Auteur ; J.F. Bousquet, Auteur ; M. Muller, Auteur ; M. Chatenet, Auteur Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 22-28 Note générale : ill. : 10, Résumé : Anglais, Français; Espagnol Langues : Français (fre) Catégories : Agriculture Mots-clés : Canne a sucre Phytopathologie Defense des cultures Serre Résumé : Les échanges et les transports de la canne à sucre sous forme de boutures peuvent présenter des risques phytosanitaires graves qu'il convient de contrôler. Dans les années 70, à Montpellier, le Cirad a mis en place une unité de quarantaine. Elle est constituée de deux serres d'observation et de multiplication qui sont associées à un laboratoire de phytopathologie. Ce dernier permet la détection des maladies de la canne à sucre grâce à des outils de diagnostic performants. Les clones distribués par cette quarantaine proviennent de différentes sources (variétés internationales, clones en cours de sélection produits par le Cirad en Guadeloupe et par la West Indies Central Sugar Cane Breeding Station à Barbade). Le matériel végétal est suivi et traité (traitements antifongiques et insecticides, thermothérapie) pendant deux cycles de culture. Après deux ans de quarantaine à Montpellier, des boutures saines sont fournies principalement aux périmètres sucriers d'Afrique de l'Ouest et du Centre aux stations de création variétale de la canne à sucre des Antilles (Guadeloupe) et de 1'lle de la Réunion. (Résumé d'auteur) (IBISCUS-CIRAD) Mots-clés géographiques : France Type de document Regards : Article de périodique Identifiant Regards : 3421 Permalink : https://www.cist-regards.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4443
in Agriculture et développement > no. 13 [01/03/1997] . - p. 22-28[article]L'utilisation de Chromolaena odorata pour fixer l'agriculture en zone forestière de Côte d'Ivoire / P. Autfray in Agriculture et développement, no. 13 ([01/03/1997])
[article]
Titre : L'utilisation de Chromolaena odorata pour fixer l'agriculture en zone forestière de Côte d'Ivoire Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Autfray, Auteur ; H. Gbaka Tchetche, Auteur Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 3-12 Note générale : ill. : 7, tabl. : 4, graph. : 9, carte:1, Résumé : Anglais, Français; Espagnol Langues : Français (fre) Catégories : Agriculture Mots-clés : Riz pluvial Systeme de culture Fertilite du sol Jachere Foret Résumé : A Gagnoa, l'augmentation des populations, la réduction de la durée de jachère, la disparition des massifs forestiers remettent en cause le système de culture traditionnel itinérant à base de riz pluvial. La fixation de l'agriculture est confrontée à plusieurs difficultés (adventices, fertilité, intrants, mécanisation). Pour répondre aux besoins d'autoconsommation, à la nécessité de diversifications et de valorisation du milieu sont testées des rotations à base du riz pluvial. Un itinéraire sans brûlis des jachères de second cycle a été adopté, améliorant la protection du sol, la fumure organique, la conservation de l'eau dans le sol. Pour contrôler les reprises de Chromoleana odorata, l'emploi d'herbicide est recommandé. C. odorata joue un rôle favorable dans le maintien de la fertilité des sols lorsqu'elle s'intègre dans des systèmes de cultures vivrières avec des jachères pluriannelles. Sa forte biomasse facilite le brûlis et concurrence les autres mauvaises herbes. Avec des temps de jachère de quelques mois, son utilisation en mulch constitue une première alternative à la culture itinérante. Des solutions complémentaires doivent être recherchées (IBISCUS-CIRAD) Mots-clés géographiques : Cote d’Ivoire Type de document Regards : Article de périodique Identifiant Regards : 3422 Permalink : https://www.cist-regards.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4444
in Agriculture et développement > no. 13 [01/03/1997] . - p. 3-12[article]L'utilisation de Chromolaema odorata pour fixer l'agriculture en zone forestière de Côte d'Ivoire. / P. Autfray in Agriculture et développement, no. 13 ([01/03/1997])
[article]
Titre : L'utilisation de Chromolaema odorata pour fixer l'agriculture en zone forestière de Côte d'Ivoire. Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Autfray, Auteur ; H. Gbaka Tchetche, Auteur Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 3-12 Langues : Français (fre) Catégories : Agriculture Mots-clés : Riz Jachere Culture vivriere Systeme de culture Foret Demographie Résumé : A Gagnoa, l'augmentation des populations, la réduction de la durée de la jachère, la disposition des massifs forêtiers remettent en cause le système de culture traditionnelle itinérant à base de riz pluvial. Pour répondre aux besoins d'autoconsommation des paysans, à la nécessité de diversification et de valorisation du milieu, sont testées des rotations à base de riz pluvial en grandes parcelles et en essais. Un itinéraire sans brûlis des jachères de second cycle a été adopté, améliorant la protection du sol, la fumure organique, la conservation de l'eau dans le sol. Pour contrôler les reprises de C odorata, l'emploi d'herbicide est recommandé. C. odorata joue un rôle favorable dans le maintien de la fertilité des sols lorsqu'elle s'intègre dans des systèmes de cultures vivrières avec des jachères pluriannuelles. Sa forte biomasse facilite le brûlis et concurrence les autres mauvaises herbes. Avec des temps de jachère de quelques mois, son utilisation en mulch constitue une première alternative à la culture itinérante. (Résumé des auteurs) (IBISCUS-INADES) Mots-clés géographiques : Cote d’Ivoire Type de document Regards : Article de périodique Identifiant Regards : 3478 Permalink : https://www.cist-regards.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4514
in Agriculture et développement > no. 13 [01/03/1997] . - p. 3-12[article]Impact de la dévaluation du franc CFA sur la compétitivité de la production rizicole au sud du Bénin. / Ahojo Adjovi in Agriculture et développement, no. 13 ([01/03/1997])
[article]
Titre : Impact de la dévaluation du franc CFA sur la compétitivité de la production rizicole au sud du Bénin. Type de document : texte imprimé Auteurs : Ahojo Adjovi, Auteur ; F. Heidhues, Auteur Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 13-21 Langues : Français (fre) Catégories : Agriculture Mots-clés : Riz Coton Systeme de production Culture irriguee Culture pluviale Production Résumé : La production nationale de riz au Bénin couvre environ 20% des besoins avec 12.000 T. de riz décortiqué par an. Le riz est peu rentable pour l'exploitation à cause des besoins importants en travail et du prix bas à la production. L'impact de la dévaluation du franc CFA en 1994 a été évalué sur la compétitivité des principales cultures dans les systèmes de produdtion (irrigué, de décrue, pluvial) intégrant le riz. Les rendements en riz sont faibles quelque soit le système. Depuis la dévaluation, le riz présente une meilleure rentabilité pour le producteur, l'augmentation de revenu est supérieure à l'inflation qui a suivi la dévaluation. Pour la rémunération du travail familial, le riz est moins intéressant que le coton en irrigué et en pluvial avant la dévaluation. Après la dévaluation, la journée de travail est mieux rémunérée pour le riz irrigué, alors que le coton fournit un gain plus élevé dans le système avec riz pluvial. Les productions sont comparées aussi dans le cadre de l'économie nationale. (Résumé des auteurs) (IBISCUS-INADES) Mots-clés géographiques : Benin Type de document Regards : Article de périodique Identifiant Regards : 3479 Permalink : https://www.cist-regards.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4515
in Agriculture et développement > no. 13 [01/03/1997] . - p. 13-21[article]