Catalogue REGARDS
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Le Centre d'Information Scientifique et Technique Regards du CNRS est le pôle documentaire de l'Unité Mixte de Recherche Passages. Ce catalogue est celui de sa bibliothèque.
Paru le : 01/03/1984 |
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Les Cahiers d'Outre-mer : revue de géographie de Bordeaux et de l'Atlantique / Directeurs Louis Papy, Eugène Revert
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Ajouter le résultat dans votre panierLa route ouagadougou - bobo dioulasso. Un impact limite sur le milieu rural / Bernard Guerin in Les Cahiers d'Outre-mer : revue de géographie de Bordeaux et de l'Atlantique / Directeurs Louis Papy, Eugène Revert, no. 145 ([01/03/1984])
[article]
Titre : La route ouagadougou - bobo dioulasso. Un impact limite sur le milieu rural Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Guerin, Auteur Année de publication : 1984 Article en page(s) : p. 5-32 Note générale : 4 ill.; 4 tabl.; date de parution : janvier-mars 1984 Langues : Français (fre) Catégories : Environnement
Société
TransportMots-clés : Route Societe rurale Zone rurale Habitat Terroir Village Equipement collectif Structure traditionnelle Résumé : La route bitumee Ouagadougou-Bobo-Dioulasso traverse la savane voltaique sur 365 Km mais au contraire du schema classique, l'influence de cette route est presque nulle pour les populations rurales (311.357 residents pour 240 villages) composees de ces groupes ethniques, les Mossi, les Gourounsi, les Marka et les Bobo. L'organisation sociale y est tres rigide avec un systeme pyramidal hierarchise, au niveau du village se trouve une autorite bicephale (chef politique et chef religieux). L'acces a la terre est complexe pour une population agricole a 91 % : ces 2 aspects expliquent que le milieu rural reste fige dans ses traditions. La route n'a pas cree de nouveaux villages, par contre elle a entraine l'etablissement relatif d'equipements collectifs (sur 42 villages possedant un centre d'education rurale, 7 seulement sont localises sur la route mais 50 % de ces C.E.R. sont a une heure de marche de la route). D'autre part, la mise en valeur agricole n'est pas liee a celle de cet axe routier sous-employe. Cet axe routier est en effet sous utilise a cause de la concurrence de la voie ferree Ouagadougou-Abidjan et des routes de Po et de Koujela. (IBISCUS-SATEC) Mots-clés géographiques : Haute Volta ; Ouagadougou ; Houet ; Bobo Dioulasso Population : Mossi ; Gurunsi ; Marka ; Bobo Type de document Regards : Article de périodique Identifiant Regards : 28576 Permalink : https://www.cist-regards.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=32227
in Les Cahiers d'Outre-mer : revue de géographie de Bordeaux et de l'Atlantique / Directeurs Louis Papy, Eugène Revert > no. 145 [01/03/1984] . - p. 5-32[article]Un village diakhanke du senegal oriental / Marie France Fleury in Les Cahiers d'Outre-mer : revue de géographie de Bordeaux et de l'Atlantique / Directeurs Louis Papy, Eugène Revert, no. 145 ([01/03/1984])
[article]
Titre : Un village diakhanke du senegal oriental Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie France Fleury, Auteur Année de publication : 1984 Article en page(s) : p. 63-85 Note générale : 8 ill. Langues : Français (fre) Catégories : Agriculture
Environnement
SociétéMots-clés : Communaute rurale Village Structure traditionnelle Caste Islam Demographie Conditions de vie Habitat Structure agraire Systeme de culture Résumé : Le village Missirah est situe a 40 Km au sud-est de Tambacounda, capitale du Senegal Oriental. L'organisation familiale est basee sur la division sociale du travail, l'importance du controle exerce par les anciens et la specialisation par caste. La religion musulmane est scrupuleusement observee. En 1976, il y avait 1.500 habitants, soit 130 familles, toutes diakhanke, sauf 3. Les enfants representaient 40,6 % de la population, les 15-59 ans 56,2 % et les plus de 60 ans 3,6 %. Le village, fonde il y a 70 ans par le Diakhanke Drame Sylla, pere de l'actuel chef de village, est divise en 2 quartiers, de chaque cote de la route et les terres de culture se repartissent autour. Les cultures traditionnelles suivantes sont pratiquees : mil, mais, riz ainsi que ces cultures commerciales : arachide et coton. L'elevage des bovins, moutons et chevres y est pratique. Les activites secondaires sont l'artisanat et le commerce de denrees de premiere necessite. (IBISCUS-SATEC) Mots-clés géographiques : Tambacounda ; Missirah Population : Diakhanke Type de document Regards : Article de périodique Identifiant Regards : 28578 Permalink : https://www.cist-regards.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=32230
in Les Cahiers d'Outre-mer : revue de géographie de Bordeaux et de l'Atlantique / Directeurs Louis Papy, Eugène Revert > no. 145 [01/03/1984] . - p. 63-85[article]