Titre : |
L'insertion de la caféiculture dans les structures de production en Guinée forestière. [en ligne]. [consulté le 22/05/2014] |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Daniel Lamah, Auteur ; Laurien Uwizeyimana, Directeur de thèse ; Université Toulouse 2 le Mirail (UT2 Le Mirail), Organisme de soutenance ; Bernard Charlery de la Masselière, Directeur de thèse |
Année de publication : |
2013 |
Importance : |
490 p. |
Présentation : |
bibliogr. 11 p., tabl., graph., photogr., cartes |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Agriculture Commerce Economie
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Mots-clés : |
Caféiculture Système de production Activité économique Production Culture Plante stimulante Agriculture Structure agricole Plantation Rendement agricole Revenu agricole Polyculture Paysan Exploitant agricole Zone rurale Gouvernance Famille Exploitation familiale Législation Pouvoir d'achat Petit producteur Conflit foncier Pluriactivité Insécurité foncière Code foncier |
Résumé : |
Cette thèse d'Études rurales en Géographie-Environnement est consacrée à l' "insertion de la caféiculture dans les structures de production en Guinée Forestière". Introduite dans les systèmes de production paysans par les colons entre 1902 et 1920, la caféiculture a évolué sous l'influence des contextes socioéconomiques, politiques et démographiques variés. Sa dynamique spatiale se présente comme un paradoxe. Les superficies de cultures pérennes à base du café augmentent en effet au détriment des cultures vivrières à base du riz, cependant les rendements et revenus de ces plantations (désormais individuelles) restent généralement faibles. La reconversion de ces parcelles de café en d'autres systèmes de cultures pérennes ou vivrières est rare . Or, il existe d'autres cultures (le palmier à huile amélioré, l'hévéa etc.) plus rentables aujourd'hui que le caféier. Les ressources foncières s'amenuisent dans un contexte de forte croissance de la population régionale qui se situe à 4,3% par an contre 3,1% pour le pays. Cette population vit essentiellement d'une agriculture extensive. L'insécurité foncière s'accroît à travers des conflits complexes parce que l'application en milieu rural du code foncier moderne promulgué en 1992 reste encore limitée. Ainsi, en vue de maximiser la rentabilité des parcelles, les paysans privilégient la polyculture sur les coteaux, en association avec le café. Pour les jeunes, ce choix s'inscrit souvent dans le cadre du processus de leur autonomisation. Cette thèse montre qu'au-delà de sa rentabilité économique, c'est surtout le besoin de sécurisation foncière qui détermine le choix de la culture caféière par la plupart des paysans. (Résumé d'auteur). |
Mots-clés géographiques : |
Guinée |
Travaux universitaires : |
Th. : Géographie/Environnement (Mention «Études rurales») : Université de Toulouse : 25/09/2013 |
Type de document Regards : |
Thèse |
Identifiant Regards : |
124639 |
En ligne : |
http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00927761 |
Format de la ressource électronique : |
http://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/92/77/61/PDF/Lamah_Daniel.pdf |
Permalink : |
https://www.cist-regards.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=167064 |